mardi 15 octobre 2013

En Photos


 Un Maître tout puissant


qui contraint, impose


qui utilise, transforme, abaisse


à sa convenance et sans scrupule pour son seul plaisir et confort


Humilier, asseoir  son pouvoir


 sa soumise, sa chose, son esclave


l' éduquer, la dresser

                                                                     

                                                                       

Vous n'êtes plus là

                                                                 
                        J'ai préparé votre café
Mais Vous n'étiez plus là...

J'ai attendu en vain, vos ordres, votre main caressant ma croupe
Mais Vous n'étiez plus là...

J'ai espéré vos liens, vos contraintes à tour de bras
Mais Vous n'étiez plus là...

J'ai cherché dans ce grand lit votre chaleur
Mais Vous n'étiez plus là...


J'ai beau regardé, vous chercher, vous rêver
Mais Vous n'êtes pas là...

Ne reste que le néant... et moi
Jusqu'à votre retour...



Citation de Honoré de Balzac

L'esclave a sa vanité, il ne veut obéir qu'au plus grand des despotes.


La douleur, une autre douleur, celle que je redoute le plus

la douleur que je supporte le moins, qui me blesse à l'intérieur des chairs, elle est invisible, profonde, elle ronge mon être comme l'acide. La séparation.

Je n'ai plus que cet écran, ce clavier froid, les touches que je martèle, elles reçoivent les coups que j'évite parce que vous n'êtes pas là. Je scande les mots à défauts de recevoir vos divins maux. 

Les moments souverains sont si vite passés alors que s'étire l'absence en cascade de peines et amertumes.
Je hais les départs, les adieux.


Grelots

 Sur les mamelles ou sur les grosses lèvres, pour que vous sachiez toujours ou je me trouve et si je bouge....


Suspendue par les seins

 Samedi soir fut un grand moment, Vous m'avez bondé les seins et ensuite suspendue.
Je ne m'attendais pas du tout à ça et ce fût un grand moment.
La sensation est intense, tout le corps tiré vers le haut, la tension est incroyable, chaque muscle est bondé, ma chatte s'est ramollie comme une motte de beurre au soleil. 
Pinces, ceinture, badine sur le cul, le dos, les seins, pinces sur la langue, les lèvres intimes.
De la cire brûlante comme une seconde peau, la cravache s'abattant sur la chatte.
J'ai pleuré, gémis,hurlé, tremblé, voulu fuir, j'ai bavé , tenté d'éviter certains coups par peur, je ne dois pas.

J'ai dû répéter: Je dois subir, je ne dois pas supplier.
Je vous ai aimé encore plus.




Citation de Leibniz

Celui qui est maître de l'éducation peut changer la face du monde.

Par l'éducation mon Maître me changera.



Oubliée ou pas...

Parfois, il l'oublie intentionnellement, la sommant au silence, la mettant dans une position difficile.
Il vaque à ses occupations, la laissant dans le noir, ruminant de sombres pensées, le temps s'égrenant sans repère, elle erre dans les méandres de l'introspection, elle subit muette et immobilisée les douleurs, elle ressent la place qui est la sienne.
Elle ne voit rien mais ressent tout, entend tout, les pas de son Maître, elle l'imagine se déplaçant, elle l'écoute à travers la cloison discuter avec des étrangers via le téléphone, il va et vient, elle se sent si loin alors qu'il est là, elle souffre de cette mise à l'épreuve, c'est comme si elle n'était rien pour son tout.


Il veut, il exige...

Il veut la former pour qu'elle soit une soumise exemplaire et endurante.

Il attend  qu'elle garde les yeux baissés quand il s'adresse à elle. Quand il a prend en défaut,il la punit. Il ne lui passe rien. Il a toujours sur lui deux pinces, sa ceinture.

Jamais elle ne doit contester un ordre.

Il lui fait copier sur le papier encore et encore ce qui ne rentre pas, le sexe et l'anus investis d'un objet ou légume de son choix, les seins bondés parfois. Ses punitions écrites en tenue d'écolière. Une règle à la main, il veille .

En voiture, il lui fait baisser ses dessous, jambes écartées, trous accessibles.

Il rafraîchit les marques qui risqueraient de s'estomper.

Il lui apprend à tenir des positions, à servir humblement. Il augmente un peu plus la pression.

Il  invente de nouvelles humiliations qu'il distille sournoisement.

Il joue avec son mental, il la veut déstabilisée, il veut la posséder totalement, la sentir perdre pieds. Il la veut abandonnée à seule volonté.

Il oeuvre pour la dompter, il obtiendra à force la soumise qui le comblera. Tous les moyens sont bons.