La morsure du glaçon glissant sur mon épiderme dressé.
Les cuisants baisers de la badine marquant mon corps happé dans une danse désordonnée.
Les liens serrés mordant mes chairs irritées.
Les serres de ses pinces voraces comprimant mes mamelles sollicitées.
Mes orifices béants forcés à l'extrême par des hôtes envahissants.
Le feu montant aux joues par la honte d'une humiliation acérée.
Mon cœur qui se consume de toutes ses attentions acides ou sucrées.
Je fonds, je me liquéfie, je meurs et je renais sous son amour.